Une déshumanisation inconcevable,
Des morts innombrables,
Tel a été le résultat d’une guerre minable.
On l’a nommé Führer,
Pourtant il ne méritait pas de fleurs.
Des déportés épuisés, achevés,
Par ce travail forcé.
Plus aucune pudeur,
Plus aucune chaleur,
Rien que des cendres
Et des pleurs.
Comment un tel désarroi a-t-ill pu devenir roi ?
Nous ne pourrons mettre des mots,
Sur ces effroyables bourreaux.
Mais il nous reste toujours
Sous ces futurs beaux jours,
De continuer à tenir le flambeau,
Symbole de l’humanité,
De leurs mémoires,
Qu’on pourrait prendre comme un miroir,
Rempli de courage,
Malgré tous ces orages.
Il est important de se souvenir,
Pour construire
Notre bel avenir.
Ponzo Seirina , 1ère Eco 1 .